Pleins feux sur l'assassin (Georges Franju, 1961)
On était en droit d'attendre de Franju autre chose que ce film un peu laborieux dans son exécution. Le scénario de Boileau-Narcejac et le début, dont l'atmosphère n'est pas sans rappeler la poésie mystérieuse et quasi-fantastique de La tête contre les murs et des Yeux sans visage, promettaient davantage. Belle musique de Maurice Jarre cependant. Décevant.