Présumé innocent (Alan J. Pakula, 1990)
Thriller judiciaire excessivement poussif dont l'intrigue, délayée deux heures durant, est contenue dans le seul monologue introductif. Le twist final est une facilité scénaristique un peu racoleuse qui n'arrange pas le triste constat qui s'impose: le Pakula des années 70 était loin.