Big Leaguer (Robert Aldrich, 1953)
On ne peut pas dire que cette modeste première oeuvre soit restée dans les annales. A moins d'être fanatique de baseball et/ou admirateur du grand Edward G. Robinson, on reste froid face à une réalisation anonyme et des personnages parfaitement stéréotypés. C'est peu dire que Big Leaguer est parfaitement sans intérêt.