On ne joue pas avec le crime (Phil Karlson, 1955)
Un bon noir de série B aux accents tantôt comiques (le début), tantôt romantiques (l'arrivée de Kim Novak), n'éludant aucunement le traumatisme de soldats rendus à la vie civile. C'est l'aspect le plus intéressant du film. Si la fin s'avère aussi surprenante que bienvenue, l'ensemble manque malgré tout un peu de peps et les acteurs apparaissent rapidement limités. Phil Karlson nous a habitué à mieux.