Bric-à-brac et compagnie (André Chotin, 1931)
Petit film sympathique mais sans réelle ambition. Quelques bons mots donnent de l'épaisseur à des personnages un brin stéréotypés. Le ton désinvolte et les quelques tenues légères portées par la mannequin du camelot Fernandel rappellent gentiment l'audace du cinéma français des années 30. Quarante minutes qui ne sont pas restées, à juste titre, dans les annales.