Le désordre et la nuit (Gilles Grangier, 1958)
Comment croire une seule seconde à l'histoire d'amour qui lie la jeune camée au flic bourru ? Comment ne pas s'endormir devant la mollesse du rythme ? Comment accepter la rigidité du style, l'aspect terriblement routinier du scénario ? Grâce à la présence et à la classe de Danielle Darrieux. Tout le reste est anecdotique.