Le piège à cons (Jean-Pierre Mocky, 1979)
Dernier volet d'une trilogie entamée avec Solo puis poursuivie avec L'albatros, Le piège à cons conclut le travail de Mocky sur les idéaux (et les désillusions) révolutionnaires et la corruption des politiciens. Ce n'est pas à proprement parlé réussi mais, en dépit d'une vulgarité crasse et d'une mise en scène toujours aussi hasardeuse, le regard porté est assez juste. Et Catherine Leprince est VRAIMENT ravissante.