Sous le signe du taureau (Gilles Grangier, 1969)
Le plus parfait exemple de la médiocrité du label "qualité française" avec, en prime, une ambiance gaullienne particulièrement prégnante. Comme c'est Grangier, c'est aussi Gabin. Et Gabin fait du Gabin. Les seconds rôles sont des faire-valoir, le récit franchement parternaliste et la mise en scène totalement anonyme. En somme pour apprécier ce film, il faut aimer sa vedette davantage que le cinéma.