La dixième victime (Elio Petri, 1965)
Le ratage de Petri. La dixième victime a beau être intéressant sur le fond, il parait totalement ringard et vieillot tant la forme est indigente. Un film d'anticipation aussi mal gaulé, avec ses acteurs à côté de la plaque (Mastroianni peroxydé fait peine à voir) et ses couleurs pop dégueulasses, sans oublier des enjeux mal exploités, a peu de chance de susciter un quelconque intérêt.