Les diplômés du dernier rang (Christian Gion, 1982)
Affligeant de nullité, le film de Gion cumule à lui seul tous les reproches qu'on peut formuler à l'encontre des sous-productions débilitantes "pour jeunes" qui fleurissaient alors. Les gags sont éculés au possible, les acteurs catastrophiques et le tout est emballé avec moins d'inspiration que le plus insipide des téléfilms. S'il existe des amateurs de Patrick Bruel devant la caméra, nul doute que le bon sens leur fera préférer Profs de Patrick Schulmann.