Vive la sociale ! (Gérard Mordillat, 1983)
Chronique un peu fade d'un jeune homme né au sein un environnement communiste dans le Paris populaire d'après-guerre. Les idéaux, les références perpétuelles à l'Huma, la fin des illusions qui choque les parents, la petite amie catholique et hongroise... certaines scènes sont très bien senties (les mots croisés !) et la patte autobiographique du film est partout palpable mais la mise en scène est d'une insignifiance rédhibitoire. Le jeune Cluzet est plutôt convaincant.