L'ibis rouge (Jean-Pierre Mocky, 1975)
Un joyeux bordel, désinvolte et surréaliste à souhait. L'articulation du scénario et l'écriture sont foireuses au possible mais le cabotinage des trois grands Michel (Simon, Serrault et Galabru) est délectable. Il y a même une sorte de poésie qui émane de cette succession de scènes improbables, d'approximations stylistiques (pour rester poli) et de grossièretés assumées. Du Mocky pur et dur.