Beaux mais pauvres (Dino Risi, 1957)
Le volet intermédiaire de la trilogie écrite par Festa Campanile et Risi est sans doute le moins réussi. On y retrouve la pertinence sociale des aventures de Romolo et Salvatore mais elle est atténuée par une redondance des situations par rapport au premier épisode. Restent la sympathie éprouvée pour les personnages, la beauté des actrices (surtout la trop rare Marisa Allasio) et quelques situations comiques bien senties.