Club des rencontres (Michel Lang, 1987)
Les mots manquent pour décrire ce monument de nullité mais essayons: la grivoiserie n'est que racolage, l'humour n'est que vulgarité, la mise en scène n'est qu'insignifiance, les dialogues ne sont que bêtise. Quant aux acteurs (dont on ne sauvera que la présence de la très jolie Valérie Allain), il faut bien vivre... Le constat qui s'imposait devant le dramatique Hôtel de la plage est donc ici identique: du cinéma populaire détestable.