Tempête (Dominique Bernard-Deschamps, 1940)
Après une introduction aussi surprenante qu'alléchante le film retombe rapidement dans des travers académiques assez rédhibitoires. Tempête n'est pourtant pas un mauvais film, mais une oeuvre convenue où le drame intime vécu par Erich Von Stroheim a du mal à captiver. On notera aussi que le personnage d'Arletty, pourtant tête d'affiche, ne sert absolument à rien. La fin, en revanche, est assez belle.