La loi c'est la loi (Christian-Jaque, 1958)
Lourde et longuette comédie sur la bêtise administrative. C'est parfois malicieux (l'opposition entre Fernandel et Toto est l'unique moteur du film et les scénaristes - rien de moins qu'Age, Scarpelli et Tacchella pourtant - ne sont pas très inspirés) mais à force de répétitions et de rebondissements téléphonés, le spectateur s'ennuie ferme. Résultat attendu pour un film sans ambition ni envergure. Parfaitement anecdotique.