Naktibalda (Arunas Zebriunas, 1973)
Découvrir ce film, c'est prolonger le bonheur ressenti durant le visionnage de La belle. Zebrinuas utilise la même recette (récit à hauteur d'enfants, monde adulte vu comme absurde et lointain, fantaisie des situations, ritournelle omniprésente...) et réalise un très joli poème sur l'enfance, les rêves et l'imaginaire. Les gamins, l'interprète du petit Domas en tête, sont épatants de naturel. Aussi léger que réussi.