Le mirage (Jean-Claude Guiguet, 1992)
Soyons brefs: abominable adaptation de Thomas Mann avec des dialogues désincarnés, des acteurs nullissimes et une mise en scène incroyablement prétentieuse. Tout cela rappelle les pires pensums de Resnais ou Robbe-Grillet sans avoir le centième de leur sensibilité esthétique. Complètement artificiel et risible.