Les enfants du désordre (Yannick Bellon, 1989)
Enième histoire de marginaux que le théâtre est censé ramener à la vie et/ou dans le droit chemin. Au-delà de l'argument bien peu original, c'est extrêmement caricatural et assez complaisant dans son traitement. Quant à la réalisation, elle parait aussi datée que les convictions des auteurs. Les personnages sont des pantins qui ne servent qu'à incarner les fantasmes d'une intelligentsia coupée des réalités. Vain.