Les ennemis (Edouard Molinaro, 1962)
Ce qui frappe ici, c'est la vivacité du montage et l'accumulation des situations. En résulte bien évidemment un rythme effréné qui fait passer une sensation de trop-plein scénaristique au second plan, Molinaro visant l'efficacité. Les acteurs sont bons et le finale, dramatique, plonge le film dans une noirceur jusque là maintenue à distance. Pas mal du tout.