Rythmes d'amour (Mitchell Leisen, 1934)
Récit empesé malgré les multiples parties musicales, difficilement intéressant en dépit des rebondissements de l'enquête, Murder at the Vanities n'a pas l'élégance des meilleurs films de Leisen. Réalisé quelques temps avant l'application du Code Hays, il n'y a pas d'impression de liberté vis-à-vis des conventions à l'exception, et ce n'est évidemment pas suffisant, des tenues pour le moins légères des danseuses. Les acteurs ne sont pas terribles non plus. Bref, un ennui prégnant que la brève apparition de Duke Ellington ne parvient même pas à dissiper.