Section des disparus (Pierre Chenal, 1956)
Cette coproduction franco-argentine est très inégale. Si le noir et blanc est joli et le découpage plutôt vif (ce qui est la moindre des choses pour un film de moins de 80 minutes), le scénario est pour le moins alambiqué et parait totalement artificiel rebondissement après rebondissement. Malgré le doublage, on retrouve évidemment avec plaisir Maurice Ronet et son charme magnétique.