Nobuko (Hiroshi Shimizu, 1940)
Ce Shimizu déçoit pour deux raisons principales : la mise en scène est étonnamment plate, de telle sorte que l'empathie habituelle que le spectateur peut ressentir pour un de ses personnages peine à se réaliser (la jeune professeur et son élève rebelle émeuvent peu) et le scénario est excessivement scolaire et convenu. Ici, la magie des grandes réussites du cinéaste est totalement absente.