Que les gros salaires lèvent le doigt ! (Denys Granier-Deferre, 1982)
Une satire plus ou moins bien sentie du monde de l'entreprise et de la bourgeoisie. Si Jean Poiret se délecte à jouer le rôle du patron cynique, le personnage incarné par Piccoli demeure en revanche toujours un mystère tant il ne sert strictement à rien du point de vue de l'intrigue. Le récit manque de rythme et d'une véritable identité mais la scène des chaises musicales justifie à elle seule l'intérêt du film.