Promesse à l'inconnue (André Berthomieu, 1942)
On se moquerait sans doute moins de l'intrigue si le rythme du film était plus alerte. En l'état, même en durant moins de 90 minutes, Promesse à l'inconnue est totalement soporifique. Et il ne faut pas compter la mise en scène de Berthomieu, routinière au possible, ni sur les dialogues du pourtant savoureux Sauvajon pour donner un peu d'allant à l'ensemble. Vanel, Dauphin, Brasseur... tout cela vaut surtout pour les acteurs (bien qu'ils ne soient pas flamboyants). Bref, c'est chiant.