The Sword (Patrick Tam, 1980)
Au-delà de personnages assez niais, d'un scénario somme toute très peu élaboré et de quelques furtifs passages frisant le grand-guignol, The Sword est vivifiant. Les combats sont excellemment chorégraphiés, la réalisation d'une parfaite fluidité et certains plan stupéfiants de beauté. Le tout bercé par une musique qui prend de temps à autre des accents morriconiens. On comprend mieux pourquoi il est considéré comme un film matriciel par toute une génération de cinéastes hongkongais.