Le cirque des horreurs (Sidney Hayers, 1960)
La beauté indéniable de la photographie et le très inquiétant visage d'Anton Diffring sont les principaux arguments à mettre au crédit du film. La réflexion sur le paraître et les visages accidentés est cependant amoindrie par un rythme par trop languissant et une distribution globalement assez faible. Par ailleurs un peu cheap dans ses effets (qu'on songe au gorille...), ce film de genre très moyen se distingue davantage par l'éclat de ses couleurs que par son propos.