Le mioche (Léonide Moguy, 1936)
Plein de bons sentiments sans que pour autant que le récit soit mièvre ou inutilement larmoyant. Lucien Baroux est très attachant et l'histoire se laisse suivre sans déplaisir. La mise en scène en revanche manque de vitalité et de personnalité. En d'autres termes c'est un peu mou et sans grande ambition. Pour l'anecdote, Michèle Morgan y fait deux ou trois furtives apparitions parmi les pensionnaires.