El esqueleto de la señora Morales (Rogelio A. Gonzalez, 1960)
Au-delà de l'argument narratif (un homme supprime sa femme infirme après des années d'un mariage vécu comme un calvaire permanent) c'est à la société conservatrice mexicaine que s'attaque Gonzalez en adaptant Arthur Machen. L'omniprésence de l'Eglise, ses harpies qui sont autant de mal baisées brandissant à chaque occasion leur morale, les mensonges des culs bénis... la charge est certes violente mais manque sans doute de nuance. La photographie est superbe et donne du relief à la labyrinthique maison qui sert de décor principal au film.