La muerte camina en la lluvia
(Carlos Hugo Christensen, 1948)

Seconde adaptation de L'assassin habite au 21 après celle d'Henri-Georges Clouzot, cette déclinaison argentine est bien peu convaincante. Bien que le soin apporté au cadre (nombreux plans serrés sur les visages) confère au film un sentiment oppressant qui sied au récit, on regrette le peu d'inventivité, l'absence d'ambition formelle et une interprétation très inégale. En somme, la version de Christensen est terne et, parce que tournée en studio, ne montre rien de Buenos Aires.